Avancement : je suis en orbite autour de la page 220 et des poussières d'étoile, et j'ai demandé à la Lune vers quel passage je me situais, celle ci m'indique
- Spoiler:
l'épopée catastrophe de d'Orphu et Mamhmut...matmut... Matt...Manhmut et la rencontre avec Savi
Si au début du bouquin j'étais complétement dans le flou à cause du découpage des chapitres (à savoir que nous suivons trois histoires parrallèles, à coup de téléportation quantique sans aucune transition) je commence à mieux comprendre ce que sont les moravecs, les posthumains, et les "humains à l'ancienne' (bien que le titre mt'évoque plutôt un pot de de moutarde...le titre des humains pas du livre hein!) et mieux encore je sens la satifacton en moi du lecteur qui commence à prévoir la suite dans sa tête et du potentiel des possibles qu'il va se passer....ouais la poussière d'étoile c'est de la bonne !
Revenons à une critique plus sérieuse. C'est marrant mais j'ai l'impression que les 3stades où sont arrêtés les différents héros me plaisent !
_le coté dramatique qui prend le dessus sur Hockenburry : il pèse le pour ou le contre mais qu'importe ce qu'il fait il n'est pas à l'abri des conséquences : il ne peut que gagner du temps
- Spoiler:
Aphrodite étant en train de se régénérer il ne lui reste qu'une journée
_la découverte du "domi" de Savi où se posent pleins de question sur le "fax" et une légère remise en question sur qu'est-ce donc qu'être humain ? (quand nous comparons l'équipe d'Harman qui ne fête leur "anniversaire" que pour leur "vings" à Savi, dernière humaine ayant échappé au dernier "fax".
et enfin mon passage préféré
_l'épopée catastrophique d'Orphu et Mahnmut est juste un vrai plaisir à lire . Ces personnages sont des moravecs mais ils sont tellements plus humains ou plutôt donnent vraiment l'mpresion d'incarner des personnages de Proust ou Shakespears; l'amitié de Mahnmut qui a sauvé Orphu alors qu'il était dans un état désésperé sans pour autant tomber dans le ridicule est vraiment touchante. C'est à se demander si ce ne serait pas les moravecs qui pourraient donner des leçons aux humains.
Par contre je ne comprends pas toujours le principe de fax homme qui brule.
Pour revenir à on précédent post : je disais que je trouvais sympa la paradoxe temporel...mais Simmons introduit ici un tel paradoxe temporel : ici les dieux sont des posthumains qui sont tellement avancés dans la technologie qu'ils sont immortels...mais Savi a affirmé que la limitation à cent an de vie était récent pour le genre humain, ca signifie donc que dans l'oeuvre les dieux sont des "pré-humains" ayant déjà vécu avant nous, qui ont atteint un niveau de technnologie futuriste qu'on ne pourrait jamais atteindre et que se sont eux qui ont crée l'antiquité jusqu'aux périodes les plus avancées et qu'ils peuvent s'ils le veulent, refaire n'importe quelle période historique...
Fascinant.