La Moïra - Gallica, Henri Loevenbruck

Le personnage d'Aléa me plait beaucoup elle part de quasi rien et devient la fille de la terre, se découvre un frère et se fait un tas d'énnemis en peu de temps.

Le caractère d'Imala est également génial par contre je ne suis pas d'accord avec le résumé qui dit qu'Aléa et Imala vivent un peu la même chose: Imala fait parti d'une meute et elle n'est pas appréciée pourtant les autres loups l'accepte alors qu'Aléa ne se fait pas accepter, elle est obilgée de mandier voir de voler. Je parle uniquement du début mais c'est la même chose jusqu'au moment ou elles rencontent (et encore).

Je pense que la ressemblance entre Imala et Aléa est qu'elles ne sont pas satisafaites de leur vie; Imala convoite la place de dominante pour avoir des petits, tandis qu'Aléa déteste sa vie de mendiante

le peuple accueille Aléa comme un reine à providence et qu'elle maitrise l'ahriman et non le saïman. Sa compréhension des choses est impréssionnantes, le sens du saïman et de la moïra. J'ai trouvé que la vision de la moïra par les habitants et son vrai sens sont un peu comme ce en quoi les chrétiens et autres religieux croient: une force régis le monde et ils lui donnent un nom. (J'aurais quand même bien aimé qu'Amine reste en vie) La renaissance de l'arbre de la vie, le fait qu'Imala acceuille l'esprit de la mère d'Aléa et le fait qu'Aléa soit enceinte donne une fin pleine de beauté et de vie.