Bien le bonjour
me voici pour une nouvelle présentation d'un auteur qui vous est inconnu je pense mais qui je trouve est pas mal ^^ je vous présente ici le 1er tome de Farlander =)
voici le résumé de ce livre :
Ash est un farlander, un « homme du lointain » venu d’une île où les hommes ont la peau noire. Il appartient à un ordre d’assassins d’élite, les Roshuns, dont l’arme est la vendetta : quiconque menace leurs clients devient leur cible. Nul ne s’y risque, car nul n’échappe aux Roshuns.
Mais Ash est vieux et malade. Le temps est venu pour lui de prendre un apprenti. Il choisit Nico, un gamin de la cité de Bar-Khos, assiégée depuis dix ans, dernière à résister à un empire d’une atroce cruauté. Affamé, désespéré, Nico n’a pas d’autre choix que de suivre le vieil homme au monastère des Roshuns où il apprendra le meurtre, mais aussi l’amitié et l’amour…
Le jour où l’héritier de l’Empire égorge délibérément une jeune fille portant le sceau des Roshuns, l’ordre exige d’assassiner l’homme le mieux protégé du monde.
Jusqu’ici, tous ont échoué. Ash se propose, il n’a plus rien à perdre.
Je vous ai fourni le résumé qui m'a assez attiré au premier coup d'oeil, j'ai hésité mais finalement je l'ai acheté
je vous fournis une critique trouvé sur un site sympa et je vous donnerai ensuite mon avis
la critique:
Et voilà une autre sortie fantasy « majeure » de l’année parue l’an passé aux États-Unis, encore une fois un premier roman, signé dans le cas présent par le nouveau venu Col Buchanan.
Commençons par le commencement : après une scène d’introduction fort bien troussée, il faut un bon moment avant que le lecteur retrouve un fil d’intrigue suffisamment solide pour l’emporter totalement dans l’histoire. À la décharge de l’auteur (encore que…), son univers de mécréants et de personnages souvent veules n’a finalement plus grand chose d’original en lui-même. On en vient naturellement à s’attacher au jeune Nico, dont le parcours initiatique censé le transformer en assassin n’a lui aussi pas grand chose de neuf à offrir. Certaines scènes sonnent même comme des passages obligés auxquels il était visiblement impossible d’échapper au fil des pages.
Finalement, c’est à se demander ce que l’on pourrait bien lui trouver dans ce cas ? Mais l’auteur peut donc toujours compter sur sa plume, agile et souvent mordante, de même que sur quelques concepts bien maîtrisés, comme l’ordre du Rōshun et l’Empire de Mann, aux us et coutumes très… particuliers. Les forces en présence sont donc brossées avec soin et une fois véritablement lancé, difficile de prétendre que le roman s’attarde en cours de route.
Mise en valeur avec une certaine maîtrise et évitant de tomber dans les écueils de la surenchère, l’histoire de ce Farlander s’avère au final, non pas une bonne surprise, mais un récit solidement bâti, très classique (et sans doute même trop, il faut le dire), certes, par certains aspects, mais ne se moquant jamais de son public.
Dans la veine du « renouveau » de la fantasy épique loin des standards à la Jordan ou à la Eddings en vogue depuis trois ou quatre ans maintenant outre-Atlantique, nul doute que ce roman trouvera sans doute facilement un public. Reste toutefois à espérer que l’auteur saura aller plus loin par la suite afin de se forger une personnalité plus affirmée, au-delà du ton.
Il devient parfois de plus en plus ardu d’identifier de véritables « voix » derrière les concepts et l’ambiance que l’on retrouve de roman en roman dans cette mouvance censée pourtant bousculer les codes.
À tester avant d’adopter ! Car le potentiel, au-delà des questions de tons et d’univers, semble bel et bien présent.
En mars dernier, au moment de la parution originale de cette chronique, l’auteur lui-même avait annoncé sur son site officiel que Farlander avait été acquis pour la France, sans préciser l’éditeur. Apparemment, la bataille avait été rude. On sait désormais qu’il était question de Bragelonne, puisque le roman constitue même son coup de cœur de l’année. Mais si le roman ne démérite pas, nous sommes loin d’un Nom du vent ou bien de Lamentation, certes tous les deux dans un registre différent.
une petit image avant mon avis ^^ , il y aura un peu tout là : http://www.elbakin.net/concours/farlander-45
maintenant mon avis ; j'ai trouvé le debut un peu longuet, il faut attendre un peu pour se sentir bien dans l'histoire et finalement on s'y attache vraiment apres meme si quelque passage son ennuyeux mais celle-ci reste assez originale.
La période utilisé est assez originale également, on pourrait se croire a l'epoque du 16eme-17eme siecle car non seulement les héros et autres bélligerant utilise les armes séculiere style épée, arche ou hache... mais aussi les armes a feu et autre artillerie d'epoque ; j'ai trouvé cela vraiment tres bien fait de la part de l'auteur et c'est une partie de l'histoire qui m'a enormement plus
Ensuite ce que je peux dire qui est interessant, l'utilisation des personnages est assez differente et on peut se demander qui est le personnage principale ^^ il y a de plus de petit passage de retour dans le passé qui nous permettent de mieux comprendre les evenement et pour finir les descriptions en particulier celle de l'empire de Mann et ses partiquent ainsi que l'ordre des roshuns est tres bien mené.
Si vous avez des questions je vous repondrai mais je peux vous affirmer que le livre vaut le détour ^^
[Edit by Dadafolie
Le Cœur du monde1. Farlander
2. Entre Chiens et Loups
- Spoiler:
Toujours accablée par la perte de son fils, la Sainte Matriarche de Mann a donné l’ordre à ses troupes de lancer un assaut maritime sur les ports libres de Mercie.
À la tête de son armée, elle espère enfin achever la conquête de la ville de Bar-Khos, dont les murailles résistent depuis dix longues années. Mais Ash a prévu autre chose pour elle. Le vieux guerrier Rõshun est déterminé à se venger de la Sainte Matriarche pour tous les crimes dont elle s’est rendue coupable. Cependant, de telles représailles sont totalement contraires à tout ce pour quoi il a vécu jusqu’alors, car il ne s’agit plus d’une vendetta Rõshun, mais d’une affaire personnelle.
Pendant qu’Ash est aux prises avec sa conscience, Ché, l’assassin et Diplomate personnel de la Matriarche, se pose lui-même de grandes questions. Devant les massacres commis par l’armée mannienne dans le monde entier, il en vient à se demander s’il a encore la moindre foi dans les doctrines qu’on lui a inculquées.
Tandis que fait rage la bataille pour Bar-Khos, un nombre croissant de vies sont bouleversées. Bahn abandonne tous ceux qu’il aime dans la ville assiégée afin de tenter de la sauver de l’insatiable avidité de l’empire mannien. Auroch, le meurtrier, entrevoit une possibilité de redonner aux choses leur juste équilibre. Et Curl, la jeune prostituée, est bien déterminée à obtenir vengeance sur le champ de bataille.
Lorsque vient l’heure de l’affrontement entre les deux armées, tout paraît en place pour que le sort soit tranché. Cependant, ce n’est pas de la force que dépendra l’issue du combat, mais de la détermination d’un homme tourmenté en quête de rédemption…